Exposition – Intimate Foreign Bodies une exposition conçue par Gino Gianuizzi avec Judas Companion et Marta Pierobon

Mis à jour le 30/11/2018 | Publié le 11/10/2018 | Art, Culture, Monaco

Daniel Boeri présente

Intimate Foreign Bodies

une exposition conçue par Gino Gianuizzi

Artistes : Judas Companion (Jasmin Reif) et Marta Pierobon

du 9 octobre au 28 novembre 2018

 

 

La galerie d’art contemporain, L’Entrepôt – Daniel Boeri, située au cœur de la principauté de Monaco, est fière de vous présenter sa nouvelle exposition « Intimate Foreign Bodies » (Corps étrangers intimes), jusqu’au 28 novembre 2018 22 rue de Millo, 98 000 Monaco.

Il s’agit d’une exposition regroupant deux artistes Judas Companion et Marta Pierobon.

Leur travail se nourrit d’éléments surréalistes et d’impulsions qui remontent au subconscient ; avec des sollicitations et des références au quotidien des corps – en particulier des corps féminins.  Vêtements, chaussures, éléments décoratifs, évoluent dans un mouvement continu entre ironie et drame, entre profondeur et frivolité.   Intimate Foreign Bodies est un vortex centrifuge qui crée une rencontre quasi animale entre les corps et les esprits. De cette aspiration en profondeur surgit une réémergence de la lumière.  Bien sûr c’est une histoire contemporaine…

Judas Companion (Jasmin reif)

Judas Companion est un alter égo que l’artiste, Jasmin Reiff a créé, Il exprime une certaine part d’ombre que l’on peut trouver dans son travail. Cela lui permet une distanciation dans la mise en abime de son processus de création…

Dans son travail artistique, elle explore des traits de caractères qu’elles transforment en personnages hybrides mi-homme/mi-animal. Elle crée des masques, des vidéos, des performances pour parler de ces différents sujets. Souvent les dessins sont le point de départ, à partir duquel elle va travailler les vidéos/ photographies et masques.

Elle explore une certaine forme de contrainte et violence autour du corps.

 

Marta Pierobon

« … je m’intéresse à ce que le spectateur peut voir, j’ai tendance à donner une sorte de ligne directrice qui laisse de la place à une compréhension et à une interprétation personnelle. J’imagine mon travail comme une sorte d’expérience physique, comme un vrai voyage, une visite non guidée. L’esthétique est un fabricant de moteurs indissociable de mon projet. Elle joue un rôle essentiel pour attirer et rejeter le travail en tant que véhicule et catalyseur. »

Dans son travail artistique, elle cherche à visualiser la dimension mentale qui naît au moment où l’on prend conscience de ses désirs. Marta Pierobon se réfère ainsi aux divers moments de la vie, souvent improbables, au cours desquels on réalise ou découvre des choses spécifiques à propos de soi, qui sont normalement inconsciemment enfouies à l’intérieur.

Plus de renseignement sur le site de l’Entrepôt…

 

Revue de Presse :

Source : La Strada – octobre 2018

 


Source : Monaco-Matin – 3 novembre 2018
 

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